Au Concours d’élevage de Guelma
MOI et AUGU envoyé par Marc DALAUT

VENDREDI darnier ac .Augu nous sommes été faire un reportage à Guelma.

Le soleil y s'était pas encore levé de son lit de la Sybouse pourquoi il était 5 heures du matin, que le monde y rappliquait darrière le champ de course pourquoi y avait un concours de bêtes.

Tous les colons y s'étaient donné rendez-vous. Le monde il était venu de Guelma, de Petite, de Hello Police, de Guela Poussepas, Ras el Ma, Ras el Odiza, exetera, exetera.

Des grosses juments ac des yeux humains et un c.. comme la pierre carrée de la Grenouillère

A l'entrée des drapeaux et des horribles flammes pendus tzur des mats, on s'aurait cru l’entrée des Jeux Olympiques. Augu et moi la serviette tzous les bras on est reçu par le Président qu'il a des moustaches de garde champêtre, ma qu'il a la bonté peinturée sur la fugure tellement gentil il est.

Ça c'était un concours maousse et nous sommes restés axes devant les box » où ce que les bêtes elles étaient enfermées : des grosses juments de France ac des yeux humains et un darrière comme la pierre carrée à la Grenouillère ; des mulets géants du Canada et deux mètres en hauteur (cké différence ac le mulet à Zézé qu’il est maigre comme un squlette et qui l'a la langue pendante), des pouliches et des poulichettes et des étalons qui braillaient tout le temps pourquoi y z'étaient énervés.

Tout le monde y discutait, y criait comme dans la cour du roi Pataud. Chacun y se vantait son cheval. Augu, cette caisse de mort, il a voulu faire oir qui connaissait les bêtes et y se soulève les lèvres à une jument pour oir son âge et il a, reçu un coup de dents qui lui a levé l'envie de recommencer.

Tout d'un coup un capitaine de Constantine, un cuirassé, je crois, y s'arrive pour se faire la visite en connaisseur et même pas alors t'y entendais voler une mouche de cheval tellement on avait fait un silence de mort.

Adieu les discussions de tout à l'heure. Ensuite on a remis les prix des médailles en or, en argent, en duralumin ac des primes.

Tout le monde il est parti content ; nous autres aussi. Après une bonne anis ac des brochettes qui manquait le piquant, pourquoi là bas les gens y naissent nerveux, on s'a rendu à l'Hôtel Royal où le patron qu’on s'l’appelle le « fondu du vélo » y nous attendait ac un programme « alkif ».

Après des zors doeuvre en pagaie, on nous amène un merot énorme, pas de la Sybouse, mais de Philiville gros comme un enfant et long d'un mètre et dimi. On nous l’a fait oir et à la cuisine y se l'ont découpé ma oit bien y s'avait rétréci au découpage ou bien à la cuisine y se lui ont j'ait sort pourquoi on a eu qu'une kémia migroscopique.

Au dessert dans une électrocution magnifique, le président, M. Palluel, comme ils se nomment, il a remercié tout le monde et s'est rassis. L'heure des chansons elle était venue et pour faire honneur aux Bônois je pousse ma chaise, je respire un bon coup pourquoi j'avais trop mangé et je voulais chanter un air connu... J'a 2 grands boeufs dans mon étable, deux grands boeufs blancs... alors Augu, cette enfant de loup y me dit « A part une chèvre qu'elle a la fièvre de Malte qu'est ce que t'y as ». Y m'avait coupé le sifflet. Alors j'a raconté des callejades et des bânoisades que tout le in onde il a rigolé.

Avant le banquet on s'a promené dans la ville et j'a vu le tiatre antique, ,qu'il est bien conservé et où j'a essayé ma voix.

Ensuite on a vu un beau jardin ac des estatues qu'elles s'appuient tzur des béquilles en fer, pourquoi elles ont été mutulées.

Après avoir serré un tas de mains, on a remonté dans la oiture et direction Bône où un autre reportage y nous attendait. Au revoir Guelma et peut-être à, dimanche pour les courses de chevaux, in Challah